Marché du Vin et E-commerce - Etude de marché

Offensive, sur le marché des ventes on-ligne de vins, des enseignes françaises de la distribution alimentaire, à l’instar d’Auchan, de Carrefour et de Système U. Leur ambition : se rapprocher des performances réalisées sur ce marché par les pureplayers du web comme Vente privée ou Cdiscount sans pour autant concurrencer leurs réseaux d’hypermarchés. Les quatre raisons clés pour investir sur le e-commerce de vins : l’achat sur Internet entre dans les moeurs ; un fort potentiel pour les vins ; une offre premium et complémentaire ; des sites aux bases clients déjà imposantes. Offensive, sur le marché des ventes on-ligne de vins, des enseignes françaises de la distribution alimentaire, à l’instar d’Auchan, de Carrefour et de Système U. Leur ambition : se rapprocher des performances réalisées sur ce marché par les pureplayers du web comme Vente privée ou Cdiscount sans pour autant concurrencer leurs réseaux d’hypermarchés. Les quatre raisons clés pour investir sur le e-commerce de vins : l’achat sur Internet entre dans les moeurs ; un fort potentiel pour les vins ; une offre premium et complémentaire ; des sites aux bases clients déjà imposantes.Offensive, sur le marché des ventes on-ligne de vins, des enseignes françaises de la distribution alimentaire, à l’instar d’Auchan, de Carrefour et de Système U. Leur ambition : se rapprocher des performances réalisées sur ce marché par les pureplayers du web comme Vente privée ou Cdiscount sans pour autant concurrencer leurs réseaux d’hypermarchés. Les quatre raisons clés pour investir sur le e-commerce de vins : l’achat sur Internet entre dans les moeurs ; un fort potentiel pour les vins ; une offre premium et complémentaire ; des sites aux bases clients déjà imposantes. Phénomène de digitalisation de la commercialisation de boissons en France, avec l’explosion du drive sur le sans alcool et la forte poussée des ventes en ligne sur les vins. C’est ainsi qu’en 2013, les Français ont davantage acheté de boissons sur Internet que dans les supérettes. Les ventes de vins et de liquides seraient inférieures à 1,3 milliard d’euros dans le réseau de proximité. En revanche, elles atteindraient plus de 1,6 milliard d’euros sur l’ensemble du circuit digital. De quoi motiver les groupes de distribution alimentaire à revoir leur organisation. Explications et détails. Données chiffrées, sous forme de graphiques : répartition en % des ventes de boissons (vins inclus) consommées à domicile par circuit en 2013.