E-commerce et automobile (France) - Etude de marché

Principaux enseignements, en avril 2012, de l'étude menée en France par la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) portant sur les résultats des sites marchands en 2011, notamment ceux dédiés à l'automobile. L'année dernière le secteur du e-commerce a une nouvelle fois battu des records en atteignant 37,7 milliards d'euros (+10% par rapport à 2010). L'e-consommation automobile se cantonne essentiellement à la vente de pièces détachées, et si le montant du panier moyen de l'auto-moto est supérieur à la moyenne générale à 99 euros contre 96 euros, la fréquence d'achat est bien inférieure à la moyenne. Enfin, 7,1% des internautes ont acheté des pièces détachées exclusivement sur Internet contre 24,8% qui sont allés en magasin, et 3,4% déclarent avoir utilisé les deux canaux. Détails. Quelques informations également sur l'union de la Fevad avec des homologues des pays voisins, notamment pour lutter contre la fraude, qui pourrait prendre la forme d'une association européenne de l'e-commerce.

Compte-rendu des avis de professionnels français exprimés lors d'une Table Ronde organisée, fin 2011, par le Journal de l'automobile et AutoScout24, sur le thème du e-commerce automobile, et notamment la problématique de la vente à distance. Les points détaillés : la compatibilité de la vente à distance avec la distribution automobile ; l'impact d'Internet sur la chaîne de valeur traditionnelle de la distribution automobile ; le profil du vendeur sur Internet ; le rôle des constructeurs dans le développement du e-commerce automobile ; le réseau social, nouveau lieu de rencontre entre acheteurs et vendeur ; etc. Des détails. Pas de chiffres.

Principaux résultats d'une étude menée en 2011 par le cabinet Cars Online auprès de consommateurs du monde entier, sur leurs habitudes de consommation et leurs aspirations sur Internet dans le domaine automobile. Enseignements : le web est devenu la principale source d'information des acheteurs ; les portails des constructeurs et distributeurs et les moteurs de recherche sont les outils les plus utilisés ; la montée en puissance des tablettes et des Smartphones influent le choix lors de l'achat d'automobile ; les consommateurs recherchent des avis d'utilisateurs et d'experts et les réseaux sociaux et forums sont de plus en plus utilisés ; 42 % des consommateurs souhaiteraient pouvoir acquérir leur véhicule en ligne. Détails. Données chiffrées.

Le commerce de véhicules automobiles a généré en 2011 un chiffre d'affaires de 84 milliards d'euros (+ 4,9 % par rapport à l'année 2010). Le fléchissement en volume du marché des voitures particulières a été plus que compensé par un effet gamme, la hausse du marché des véhicules utilitaires légers et le redressement de celui des véhicules industriels.

Décryptage, à l'été 2011, de la place et de l'impact d'Internet dans la consommation de voiture, en France. Si les ventes de véhicules neufs sur le web ne décollent pas (alors qu'un automobiliste sur deux se dit prêt à acheter en ligne), les Français sont de plus en plus nombreux à consulter Internet pour préparer leur achat. Résultat

Décryptage, en juin 2011, de l'essor de la vente en ligne dans le secteur automobile français. De plus en plus de Français achètent leur voiture ou des pièces de rechange sur Internet, car les prix y sont inférieurs à ceux du commerce traditionnel. La compétition est rude entre les multiples acteurs qui se partagent le marché. Les constructeurs restent cependant encore frileux, laissant la place aux distributeurs multimarques qui proposent des voitures à des prix défiant toute concurrence. Le commerce en ligne de voitures neuves progresse doucement, tandis qu'Internet domine le marché de l'occasion. Le marché des accessoires et pièce auto se développe également sur Internet. Détails et explications. Court entretien avec Guillaume Paoli, directeur associé d'AramisAuto.com : "en 2010, nous avons réalisé 172 millions d'euros de chiffre d'affaires". Données chiffrées. Encadré : revisersavoiture.com surfe sur la vague du marché de l'entretien.