Marché distribution multicanal - Etude de marché

Décryptage, début 2013, des résultats d'une récente étude d'Arthur D. Little consacrée à l'évolution du commerce, et zoom sur les nécessaires changements à apporter par la distribution à son modèle économique afin de rester compétitive. Les champions de la distribution de demain sont ceux qui seront omniprésents, universels, intégrés et, surtout, centrés sur le client. Si l'heure est aujourd'hui au multicanal, il ne suffit pas d'ajouter des canaux supplémentaires à côté des magasins traditionnels. Il est important que ces différents canaux soient complémentaires et donc intégrés. Sept domaines clés identifiés dans l'étude sont à prendre en considération par les distributeurs : revoir sa culture commerciale, en passant de l'état d'esprit "vendre au client" vers "assister le client dans son achat" ; les canaux de distribution et points d'interaction à enclencher ; l'offre de valeur : les processus ; l'architecture IT ; le lieu de travail 2.0. Détails et explications. Illustration des bonnes pratiques à travers des exemples d'initiatives en Belgique et à l'étranger. Pas de chiffres.

Convergence du commerce électronique et de la distribution en point de vente, en France, en 2012. Alors qu'une hypothèse de la Fevad (Fédération de l'e-commerce et de la vente à distance) dans une étude prospective de 2011 portant sur l'avenir du e-commerce prévoyait la fin de ce canal de vente d'ici à 2020, la réalité est tout autre : l'e-commerce est en pleine mutation du fait de la stratégie multicanal des acteurs. Les enseignes jouissant d'un réseau ouvrent leurs sites de vente en ligne, tandis que les pure player du web ouvrent des boutiques en nombre restreint ou sous la forme de magasin éphémère. L'avenir du commerce semble donc être le mélange des deux canaux de distribution. Peu de chiffres. Informations rapides.

Lumière, en 2012, dans un contexte d'expansion de l'e-commerce et du m-commerce, accusés de faire disparaître le petit commerce, sur l'intérêt de la complémentarité entre commerce de proximité et commerce électronique. La convergence et la continuité entre les canaux apparaissent aujourd'hui de plus en plus évidentes. L'objectif : gommer les distances entre le consommateur et les canaux digitaux. Détails et explications. Pas de chiffres.

Décryptage des enjeux et défis que représente le cross-canal pour les acteurs français de la distribution, en 2012. Une démarche qui ne désigne pas simplement la multiplication des canaux de vente (commerce électronique et magasins physiques) mais est l'intégration cohérente des différents canaux dans l'organisation de l'entreprise. Une stratégie qui représente une opportunité de croissance pour les distributeurs et permet de s'assurer une relation directe avec le client. Mais elle n'est pas sans risque du fait de la complexité de la transformation. Explications et détails.

Le commerce électronique en France progresse de 20% en 2012, pour un chiffre d'affaires de 45 milliards d'euros, selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad). Le marché dépasse désormais celui des télécommunications (40 mds EUR) et contribue à doper certains secteurs en crise comme l'habillement ou le hightech. Un succès à double tranchant, qui suscite de l'admiration mais également de la suspicion. Pourtant, les e-commerçants français se disent fragiles financièrement et réclament aujourd'hui d'être protégés plutôt que stigmatisés, surtout face à la montée en puissance du géant américain Amazon.

Progression du commerce électronique en France et dans le monde, entraînant la structuration des distributeurs et de nombreux secteurs. Le commerce électronique devient un atout pour les entreprises qui veulent vendre à l'étranger, à condition de choisir les meilleures solutions pour attirer le client. Aujourd'hui, le cross canal évolue, avec non plus une migration d'enseignes classiques vers les boutiques en ligne, mais des pure players qui ouvrent des points de vente physique. Quelques explications. Tableaux : nombre de sites marchands actifs en France, entre 2007 et 2011, avec évolution annuelle ; top 10 des sites d'achats, en fonction des parts de marché en %. Données chiffrées sur le commerce électronique en France et dans le monde (dont le montant des dépenses et le nombre d'acheteurs).