Marché Banques et Internet en France - Etude de Marché

Emergence de la signature électronique dans les secteurs français de la banque et de l'assurance, en 2012. La technologie n'est pas nouvelle mais elle prend de l'ampleur, que ce soit sur tablette ou en ligne, car elle permet aux entreprises de réduire drastiquement leurs coûts administratifs, de se concentrer sur le processus de vente et d'augmenter le taux de transformation, ainsi que de gagner en réactivité et améliorer le service client. Des précisions sur les types de signatures électroniques employées et exemples de stratégies d'entreprises. Pas de chiffres. Avis d'experts.

Nécessité pour les banques françaises de sortir de la crise en rationalisant leur activité et en dégageant de nouveaux revenus, en s'adaptant notamment à la croissance d'Internet et des nouvelles technologies. Un double défi qui va concerner en premier lieu l'informatique bancaire, pour lequel les investissements ont été considérablement ralentis au cours des trois dernières années. La mise en place d'un ERP (Enterprise Resource Planning) doit permettre de répondre aux deux enjeux des banques et constitue donc un projet stratégique. Explications. Pas de chiffres.

Nécessité pour les banquiers et les assureurs français d'utiliser les technologies du web sémantique, de la linguistique et du raisonnement pour capter et analyser les informations et les avis émis par leurs clients. La chaîne de traitement de l'expression clients à partir de différents éléments (verbatims, réseaux sociaux, logs de recherche, etc.) doit s'intégrer dans le système d'information des banques et des assureurs afin d'améliorer la relation client. Explications. Schéma : construire une time line client. Liste non exhaustive de fournisseurs de composants pertinents pour le traitement de l'expression clients. Pas de chiffres.

Recours croissant des banques et des assureurs français à la signature électronique pour la souscription de services. Le contrat 100% dématérialisé génère des économies et apporte un gain de temps considérable. Des détails au travers de rapides cas d'entreprises. Pas de chiffres.

Dossier consacré, en mai 2011, aux moyens mis en place par les banques, les éditeurs et les associations professionnelles afin d'accompagner les entreprises, PME et PMI dans la migration vers des solutions telles que EBICS, Electronic Banking Internet Communication Standard, un protocole de communication sécurisé permettant l'échange de fichiers entre des clients et des établissements bancaires) ou SwiftNet (réseau de communication mondial créé par les banques pour communiquer entre elles). Une nécessité alors que la fermeture du réseau X25 (transporteur du protocole de communication Etebac) est annoncée pour fin septembre 2011. Sommaire. Migration Etebac, il faut mobiliser les entreprises. Solution de transmission, 5 mois pour migrer. Entretiens : Richard Cordero (délégué général AFTE (Association Française des Trésoriers d'Entreprise), "il faut simplifier les formalités administratives" ; Isabelle Dijan (chargée de mission au Medef ), "la migration touche au coeur stratégique des entreprises" ; Jean Beaufort (Sage, éditeur de logiciel pour entreprises en gestion comptable et financière), "nous avons renforcé nos équipes". Peu de chiffres. Graphique : le suivi de la migration Etebac d'octobre 2010 à mars 2011. Document de fond.

Dossier consacré, en 2011, à l'adoption des nouvelles technologies par les banques françaises, un moyen d'améliorer leur relation client, mais également d'accélérer leur modernisation en matière d'usines bancaires, de mise en conformité, etc. Sommaire. Agence du futur : offrir au client convivialité et autonomie. Front office : une vision unifiée du client dans un contexte multicanal. Intégration : une gestion plus optimale des problématiques bancaires. Mutualisation : les mises en place d'usines bancaires s'intensifient. Réglementation : faire de l'obligation un moteur pour l'innovation. Schéma : de nouvelles interactions entre l'utilisateur et son conseiller. Tableau : les progiciels bancaires généralistes. Graphique : resserrement du coeur de métier depuis 1980. Avis d'experts. Pas de chiffres.