Serious games (France) - Etude de marché

Zoom, en septembre 2010, sur l'engouement, dans le monde, des entreprises pour le serious game, mode d'apprentissage par le jeu vidéo destiné à la génération Y. Activité de niche dans le créneau juteux du jeu vidéo, le serious game représente un marché mondial de 1,5 milliard d'euros d'après une récente étude de la société française de consultance IDATE. L'activité arrive timidement en Europe grâce à la France. Précisions sur la Belgique où les précurseurs ont été les pouvoirs publics suivis des entreprises et où une série de PME commence à investir ce secteur telles que Fishing Cactus, Belle Productions et Crossroads. Données chiffrées. Encadré présentant quelques applications dans le domaine de la santé, de la communication, de la sensibilisation et de la sécurité.

Décryptage, en juin 2010, via des exemples de marques, de la sortie des jeux vidéo de la sphère fermée du divertissement, pour envahir le cinéma ou le monde du travail, avec le développement des "serious games" (ou jeux vidéo sérieux) dédiés à la formation professionnelle. Des valeurs thérapeutiques sont également attribuées aux jeux vidéo par les psychologues. Détails et explications. Quelques données chiffrées sur le marché mondial des jeux vidéo.

; serious games (les jeux vidéo sérieux), apprendre en s'amusant ; le m-learning sur le iPhone ; la visioformation, à distance et en direct. Graphiques : le pourcentage des salariés ayant suivi une formation e-learning par pays (Espagne, Royaume-Uni, Allemagne, France) ; les attentes de salariés en termes de formation (développer ; maintenir ; réduire).

Point rapide sur les "serious games", venus des Etats-Unis et utilisés par les entreprises pour former leurs salariés, ou comme outil de communication et de sensibilisation à la marque. Inspirés des jeux vidéo, les "serious games" sont des logiciels de simulation permettant à l'utilisateur de se mettre en situation professionnelle. Illustration avec les "serious games" des opérateurs de téléphonie mobile Orange et SFR, de la banque BNP Paribas ou encore de L'Oréal. Détails. Quelques données chiffrées. Encadré : les "serious games" en bref.

Eclairage, en août 2010, sur les intérêts et les limites des serious games, ces jeux vidéo simulant les situations professionnelles et qui permettent de former ou d'évaluer les collaborateurs d'une entreprise, avec quelques exemples rapides d'entreprises françaises. Les avantages : véhiculer une image innovante, susciter le désir de se former, accélérer l'acquisition des compétences. Les limites : un concept encore peu connu, un investissement de départ très élevé, un déploiement qui nécessite un accompagnement sur le terrain. Peu de chiffres.

Dossier consacré, en juillet 2010, aux caractéristiques du serious game, une nouvelle méthode pédagogique qui se développe progressivement dans les entreprises dans le cadre de la formation continue, et sur ses atouts en matière d'apprentissage. Encore balbutiant, le marché français du serious game ne représente qu'une part tout à fait marginale du marché de la formation. Avec ses avantages d'être réactif et efficace, il s'inscrit dans une tendance qui vise à réduire la durée du stage en présentiel. Afin de favoriser le développement de cette méthode, le gouvernement français a lancé en 2009 un appel à projet en recherche-développement et en innovation. Les 166 dossiers déposés représenteraient un budget total de 145 millions d'euros. Malgré les avantages que procurent les serious games puisqu'ils permettent des simulations et donnent donc la possibilité de faire des erreurs, les dirigeants d'entreprise sont souvent réticents à la mise en place de ces méthodes, surtout dans les PME. Détails et explications. Zoom sur les multiples usages des serious games. Données chiffrées. Document de fond.

Le point, en juin 2010, sur les atouts et limites des serious games, méthode de formation qui se développent dans les entreprises françaises, sorte de jeux vidéo de rôle qui permettent aux salariés d'être actifs dans leur formation, alors que d'après une étude, plus de la moitié des apprenants ne finissent jamais leurs modules d'e-learning. Détails et explications. Illustration à travers des exemples de serious games d'entreprises françaises. Peu de chiffres.