Produits de la mer (France) - Etude de marché

"Malgré des perspectives mitigées liées à l'arbitrage des dépenses et une perception prix défavorable, les conclusions de l'étude Xerfi à fin 2009 confirment le potentiel des produits de la mer.''Le discours nutritionnel incitant à consommer davantage de poisson qui bénéficie d'une image de produit sain et naturel, et l'élargissement de l'offre en produits préparés, constituent des soutiens puissants au développement du marché", résume l'étude.

Document de fond avec données chiffrées, en mars 2010, sur les bons résultats du marché des produits de la mer dans la grande distribution (progression de 7,7% en 2009 du traiteur de la mer à 1,3 milliards d'euros). Sommaire. Le point sur les raisons de cette bonne performance (qui s'explique par la reprise du surimi, l'année exceptionnelle du saumon fumé boostée par l'essor des MDD (marques de distributeurs) ainsi que par l'engouement pour le prêt-à-l? emploi) et informations sur les principales marques en présence (pp 5460). La conserve a le vent en poupe : point sur la stratégie des marques qui élargissent leur offre à des références qualitatives valorisantes (p 62). Démarche merchandising d'Alliance Océane en saurisserie (p 63). Encadrés : le traiteur de la mer mise sur le coeur de repas ; le surgelé nage entre deux eaux. Analyse des grandes stratégies d'investissement en TV nationale en 2008 : informations sur les investissements publicitaires enTV pour le segment des produits de la mer sous forme de graphiques (répartition des campagnes par stratégie, répartition du budget par moment de la journée ; répartition du budget en semaine et weekend) et de tableaux (caractéristiques d'une campagne moyenne du secteur produits de la mer contre alimentation). Graphiques : volume et CA des différents secteurs des produits de la mer (produits de la mer appertisés, produits de la mer surgelé, traiteur de la mer).

Entretien, en octobre 2009, avec Dominique Defrance, délégué pour la filière pêche et aquaculture à FranceAgriMer, qui décode, à partir des résultats de l'enquête menée par TNS Worldpanel, l'évolution de la consommation de produits aquatiques par les Français. Points abordés : la diminution globale des achats de produits de la mer en 2008, malgré une hausse du nombre d'acheteurs de produits de la mer frais ; informations sur les prix des produits frais ; les produits les plus plébiscités par les consommateurs. Données chiffrées.

-2% en volume, qui s'explique par la diminution générale des achats dans un contexte économique difficile, atteignant notamment les segments des surgelés, du frais et traiteur, tandis que les segments de la saurisserie et de la conserve enregistre une légère hausse. Autre point abordé : les habitudes de comportement des français, fidèles à la consommation de poisson, mais ni à une espèce en particulier, ni à la saisonnalité de la pêche. Encadré : la consommation de produits de la mer en Allemagne, en Espagne, en Angleterre. Données chiffrées (%).

Document de fond, sous forme d'un petit dossier, avec quelques données chiffrées et commentaires de professionnels, consacré début 2010, au marché de la crevette en France, qui représente environ 120 000 tonnes consommées par an, les crevettes tropicales cuites réfrigérées étant les plus utilisées par la RHD (restauration hors domicile). En 2009, les importations de crevettes tropicales ont enregistré une baisse de 5%. Détails sur l'utilisation de la crevette en restauration. Sommaire. Pour tous les budgets (pp 66-67) : point sur la grande variété de présentation des crevettes qui facilite le travail des cuisiniers mais pas celui des acheteurs et analyse de l'importance de surveiller les origines, modes de production et calibrages de la crevette. Décrocher les étoiles (p 69) : zoom sur le modèle de développement de la culture de crevettes à Madagascar, selon les normes de l'agriculture biologique. Vannaméi, multi-usages (pp 70-73) : point sur l'expansion de la culture de la crevette blanche vannaméi dans le monde (1,4 million de tonnes en 2004) et sur son succès dans les chaînes de restauration françaises.

Document de fond, sous forme d'un petit dossier, avec quelques données chiffrées et commentaires de professionnels, consacré, début 2010, au succès grandissant des soupes de poisson dans les linéaires des grandes surfaces françaises. Sommaire. Branchées, les soupes ? (pp 18-19) : zoom sur le marché français des soupes fraîches qui représente 9000 tonnes environ pour près de 32 millions d'euros de CA en 2008. Les PME animent les rayons (p 20) : point sur la stratégie de certains fabricants de soupes de poissons (essentiellement des PME) pour dynamiser ce petit marché au sein des grandes surfaces alimentaires (innovations, promotions des ventes, publicité sur le lieu de vente, etc.). Les labels, source de différenciation (p 23) : pour séduire les consommateurs les fabricants misent sur la certification de leurs produits, comme le label rouge ou la distinction AB (agriculture biologique). Détails.